Une minute je te hais, l'autre j'en ai rien à cirer. J'sais pas trop quoi en penser. Parce que tu m'énerves au plus profond de moi. Genre j'avance le coeur écrasé par tes sottises et tes maladresses. C'est dur quand même. T'étais ou samedi soir? Pourquoi j'ai pas le droit de le savoir, pourquoi tu m'en menti déjà? Ca va nulle part, je sais plus où j'en suis. J'ai plus trop envie de continuer pour le moment. Mais à chaque fois qu'on se voit, je change d'avis. Je suis indécise, et ça me perdra.
fausse-ataraxie
<< Il faudrait essayer d'être heureux, ne serait-ce que pour donner l'exemple >> J. Prévert
Dimanche 5 décembre 2010 à 20:21
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