Je m'attache trop aux gens, trop au monde, et trop vite surtout. Du coup, j'suis plus vite exposée à la tristesse, je suis plus blessée, très vite déçue. Je m'attaches aux gens, et je test toujours leurs limites, pour voir s'ils m'abandonnent ou pas. On m'a toujours laissé. A croire que seul les liens du sang peuvent vraiment nous garantir la présence d'une personne. De ce fait, je n'ai pas confiance, pas du tout. Je n'accorderai plus ma confiance, à personne. Ces promesses qu'on ne tient pas, cette amitié qui n'existe même plus.. J'en veux plus de tout ça moi. C'est pour ça que je suis jalouse ; Par ce que je me dis qu'ils vont m'abandonner, pour quelqu'un d'autre. J'ai peur, j'ai pas envie de vivre au jour le jour, avant ça j'ai besoin d'une garantie. Une garantie d'amour ? Utopie. J'ai besoin de savoir qu'il sera là, mais il ne l'est pas. Je vais laisser couler le temps, essayer de pas Rererererepéter un cable, essayer de faire qu'il s'accroche à moi, et puis voilà, on verra.

Notre très cher ami Wikipédia me dit que :

N'allez pas vérifier, c'est un pur copier-coller. Et je suis tout à fait en accord avec ce qui est écrit. Déjà, à partir de là, on peut me définir comme quelqu'un de jaloux. Je viens de m'en rendre compte. Je le niais jusqu'à là, mais au final, la définition de la jalousie me correspond pas mal. Voyons de plus près la jalousie amoureuse :

<< La jalousie amoureuse est une émotion empreinte d'agressivité qui est la conséquence de la peur de perdre l'être aimé ou l'exclusivité de son amour, au profit d'une autre personne – sentiment qui peut être fondé sur l'imagination. Quand elle est permanente, la jalousie est une forme de paranoïa et est attachée à une relation « amoureuse » sur un mode possessif. Dans « Othello ou le Maure de Venise », William Shakespeare fait décrire à Iago la jalousie comme un « monstre aux yeux verts qui produit l’aliment dont il se nourrit ».