fausse-ataraxie

<< Il faudrait essayer d'être heureux, ne serait-ce que pour donner l'exemple >> J. Prévert

Lundi 29 novembre 2010 à 20:17

Moi je ne veux plus de toi, parce que parfois je te hais, comme parfois je t'aime. Mais je te hais souvent en ce moment. Alors ferme la. - Je te connais, et tu ne lacheras pas l'affaire. T'es relou. T'es chiante. J'ai envie de te blesser, autant que tu m'as blessée, même plus. 10 fois plus. Je déteste profondément ma famille. Paradoxe : j'aime noël. Mais je préfère le passer seul, à la limite, dans le froid parisien, à saint michel, au moins là, je verrais quelques sourires, qui me rendront un semblant d'espoir, l'espoir que le bonheur, mais surtout la tranquillité existe bel et bien quelque part dans ce monde, ce monde qu'on m'a imposé.
Par Extatic-Pixel le Samedi 11 décembre 2010 à 16:09
"Puisqu'on se lasse de tout, pourquoi nous entrelaçons nous ?"
 

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