fausse-ataraxie

<< Il faudrait essayer d'être heureux, ne serait-ce que pour donner l'exemple >> J. Prévert

Samedi 12 mai 2012 à 13:06

 Y'a un gros pansement qui me tient debout. Et vous savez quoi ? Tenir debout à la fin de la journée est une raison suffisante pour faire la fête. Ceux qui disent que vos actes sont le résultat d'un traumatisme grave afin de pouvoir les oublier, qu'est ce qu'on en a à faire ? Que ce soit vrai ou non, on ne le sait pas nous même, on veut juste que ça change quand on s'amuse, que ça ne soit pas pareil, pas comme avant. Bet on it.

Et ça marche.

Parfois, on se sent triste, troublée, faut juste changer le pansement, et la procédure fait mal, il est vrai, mais ça passe. Je pense. La vie continue, ou on stagne ou on avance avec elle, bah oui, on n'peut pas reculer. Alors autant avancer, et changer d'ambiance, de gens, de paysage, all the time. J'ai toujours pensé que ceux qui voyageaient tout le temps, avaient en fait une blessure si profonde, qu'ils se sentent le besoin de ne s'attacher à personne, à aucun n'endroit, et de faire de leur simple corps, leur chez soi. C'est vraiment dur, mais le beau paysage et les nouvelles personnes nous apaisent. 
Compagnon de voyage, where are u ? Avec moi tu pourrais faire la Malaisie, Singapour et la Thaïlande, alors dépêche toi, parce que moi j'ai décidé d'y aller, d'avancer, seule ou accompagnée.

 
Bet on it - bis.

Dimanche 6 novembre 2011 à 18:29

 Quelles putes. C'est pas possible.
Les gens c'est des commères, des langues de vipères, j'ai mal à la tête, que du faux dans leur palette. Focu, elles seront vaincues.

Jeudi 3 novembre 2011 à 16:29

 RIP Baptiste V.. Je comprends pas, je comprends pas pourquoi putain
Une grosse claque dans ma gueule. Mec je réalise pas que t'es parti putain. J'commençais juste à keaffer là, pas maintenant.
Je comprends quedal
RIP Baptiste

Mardi 11 octobre 2011 à 21:29

 Merci, pour tout ce que tu as su m'apporter. Je fais bref, si non ça serait trop long, trop dur. Merci pour ces deux ans. Je t'aime.

Va mourir. En fait, on a jamais spécialement appartenu au même monde, on se correspondait pas du tout. Ce qui nous a rapproché au début, c'était justement grâce au fait qu'on était bien différents, opposés sur tout. J'dis pas qu'il me faut quelqu'un qui me ressemble, je dis juste que maintenant je sais ce que je ne veux pas. T'es un bon ami, quand ça t'arrange, mais jusqu'au jour où tu réaliseras, tu resteras un copain pourri.

Bonne continuation. Quoique non, trébuche jusqu'à ce que tu comprennes. Quoique non, j'men fous, fais ta vie, je jouis bien sans toi, j'suis tout simplement moi.

Dimanche 9 octobre 2011 à 19:36

Je veux écrire, écrire de mes mains.
Au final tout va bien.
Se confronter à soi-même, là commence le vrai problème.
Prendre conscience de l'inutilité de notre existence, là se trouve ma peur
De comprendre qu'au fond, personne n'a besoin de moi, alors que sans eux je m'effondre
De me rappeler à l'ordre : vivre sans prendre en compte le regard des autres, vivre pour soi.
Réussir, travailler, intégrité, tels sont les mots d'ordre.

<< Page précédente | 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | Page suivante >>

Créer un podcast